La souscription à une assurance-vie est une option à privilégier pour faire fructifier son argent.
Ce produit de placement financier offre également une fiscalité avantageuse et c’est aussi le meilleur moyen pour la préparation de la retraite et de la succession.
Les bonnes raisons d’ouvrir un contrat d’assurance-vie
Avant de souscrire à ce support financier, il faut d’abord disposer d’une épargne. En principe, il n’y a pas de montant minimal imposé pour ce type de contrat. Cette action est évidemment associée au versement d’une prime initiale qui est souvent déterminée par la compagnie d’assurance.
L’ouverture de ce contrat est à effectuer le plus tôt possible puisqu’il s’agit d’un placement à moyen et long terme. Pour profiter de la fiscalité avantageuse de ce produit, il faut attendre son 8ème anniversaire. Lorsque le titulaire réalise un retrait partiel sur son épargne, il peut bénéficier d’un abattement sur les intérêts qui s’élève à 4 600 euros.
Si l’assurance-vie a autant de succès auprès des Français, c’est grâce à ses nombreux avantages. Tout d’abord, elle offre la possibilité de fructifier l’épargne selon la stratégie de placement privilégiée par le souscripteur en fonction de son rapport au risque. Cela dit, il peut accéder à une grande diversité de portefeuille d’actifs, à savoir les contrats mono-supports ou multi-supports.
Parmi les avantages de ce type de placement financier, il y a sa fiscalité attractive. En effet, l’imposition touche uniquement les intérêts que génère le capital et son application n’a lieu qu’au moment de la sortie (retrait d’une partie ou de la totalité de la somme).
Par ailleurs, le souscripteur a le choix sur le système de taxation. C’est-à-dire que les intérêts peuvent soit s’ajouter à l’impôt sur le revenu soit être considéré comme prélèvement forfaitaire. Dans tous les cas, il y a des prélèvements sociaux applicables qui sont de 17,2 %.
Ce n’est pas fini, car l’assurance-vie est aussi un très bon outil de transmission de patrimoine. Cela dit, elle est privilégiée dans la préparation d’une succession. Dès l’ouverture, le souscripteur désigne un ou plusieurs bénéficiaires. Ces derniers perçoivent les capitaux lorsque l’assuré décède prématurément. Mais attention, malgré tous ses avantages, ce type de placement demande quelques précautions.
C’est pourquoi il est important de demander conseils chez un professionnel comme Fortuny avant de prendre une quelconque décision, ou d’adopter une quelconque stratégie. Ce formulaire ci-dessous vous permettra d’entrer en contact avec l’un de leurs conseillers.
Les différentes étapes pour la souscription
Évidemment, il faut disposer principalement d’un capital qui sera placé sur le contrat. Il faut savoir que le code des assurances n’impose pas le versement d’une somme minimum au moment d’ouvrir une assurance-vie. Par contre, la majorité des établissements demande aux souscripteurs d’effectuer un versement dont le montant dépend de leur stratégie commerciale.
En général, il varie entre 100 et 1000 euros. Dans le même temps, la compagnie peut aussi exiger à l’adhérent d’alimenter le contrat avec des versements programmés, généralement tous les mois.
Au moment de l’ouverture, il faudra également désigner le ou les individus qui recevront l’épargne en cas de décès du souscripteur. Par ailleurs, il faut savoir que cette clause n’est pas définitive. C’est-à-dire qu’il est possible de la modifier à tout moment.
En outre, le choix du mode de gestion est aussi déterminant dans le cadre d’une assurance-vie. En cas de doute, il est recommandé de demander l’aide d’un expert. Enfin, il est important de tenir compte des frais liés au contrat. Ici, il est conseillé de comparer les offres de plusieurs établissements avant de se décider.