Dans un contexte économique où l’immobilier est souvent considéré comme une valeur refuge, la question de l’optimisation fiscale sur les plus-values immobilières se pose avec acuité.
C’est particulièrement le cas pour les résidences secondaires, qui peuvent générer d’importantes plus-values à la revente. Comment alors minimiser l’impôt sur ces gains ? Quelles sont les stratégies efficaces à mettre en place pour réduire au maximum cette charge fiscale ?
Le « Grand rendez-vous de l’immobilier » : un éclairage sur l’exonération de la plus-value immobilière
Le « Grand rendez-vous de l’immobilier », une émission dédiée aux questions juridiques et pratiques liées à l’immobilier, a récemment abordé le sujet de l’exonération de la plus-value immobilière lors de la vente d’une résidence secondaire ou d’un bien locatif.
Thierry Delesalle, membre éminent de l’ordre des notaires du Grand Paris, a apporté son expertise en répondant à une interrogation précise sur ce thème. Cette source d’information précieuse permet aux auditeurs d’éclaircir leurs doutes et d’obtenir des conseils avisés pour naviguer dans le monde complexe de l’immobilier.
Les conditions pour bénéficier de l’exonération de la plus-value immobilière
Pour être exempté de la taxe sur la plus-value immobilière lors de la vente d’une résidence secondaire, le vendeur doit s’engager à réinvestir le montant total de la vente dans l’achat de sa résidence principale dans les deux ans suivants.
Il est également nécessaire que le vendeur ne soit pas propriétaire de sa résidence principale depuis au moins quatre ans. Cette demande d’exonération doit être formulée auprès du notaire au moment de la vente et inscrite dans l’acte de vente, et non après coup.
